clopin-clopant
Je pourrai remuer sans cesse le chagrin qui me tiraille, je pourrai encore te parler da ma respiration courte & rapide.. Je te raconterai la douleur du survivant. T’énumérerai toutes ces choses que je ne peux plus faire , et toutes les autres que nous partagions.
Mais à quoi bon…j’aurai l’impression d’être le prêcheur qui récite sa litanie, celle-ci n’a pas de fin.
Faisons avec cette état des lieux. Acceptons l’inacceptable.
Se fixer de nouveaux objectifs où tu es absent tout en imaginant ce que tu en penserais…
Faire sans; faire avec.. J’apprends tout doucement. Quelquefois je me surprends à t’imaginer au détour d’un chemin, je me gronde. Je me cramponne au sol avant qu’il ne se dérobe. JTM